L’endométriose, touche 1 femme sur 10 en France.
Cette maladie gynécologique invalidante provoque de grandes douleurs, des fatigues chroniques voire l’infertilité chez les femmes. C’est une maladie incurable, il n’existe pas de traitement efficace pour les soulager de manière définitive. C’est aussi une maladie évolutive : elle peut aboutir à des formes sévères responsables d’une invalidité au quotidien dans un tiers à la moitié des cas.
La maladie constitue un handicap invisible ayant des conséquences sociales, économiques et professionnelles pour les femmes qui en sont atteintes. Les arrêts maladie peuvent en effet être fréquents et affectent leur scolarité et leur carrière.
La reconnaissance de l’endométriose comme « affection longue durée » est une victoire pour les millions de femmes atteintes de cette maladie.
Elle ouvre la voie à une prise en charge financière, au remboursement des soins, à des congés maladie, à des aménagements du temps de travail, à l’investissement dans la recherche publique mais aussi à une considération institutionnelle d’une maladie longtemps restée taboue.
Le ministre Olivier Véran a expliqué à la tribune qu’il n’y était personnellement pas favorable. Le gouvernement doit entendre cette unanimité de l’Assemblée nationale et s’engager dans la voie de la reconnaissance institutionnelle de l’endométriose. Le combat continue.
Le texte de la résolution :
L’endométriose, touche 1 femme sur 10 en France.
Cette maladie gynécologique invalidante provoque de grandes douleurs, des fatigues chroniques voire l’infertilité chez les femmes. C’est une maladie incurable, il n’existe pas de traitement efficace pour les soulager de manière définitive. C’est aussi une maladie évolutive : elle peut aboutir à des formes sévères responsables d’une invalidité au quotidien dans un tiers à la moitié des cas.
La maladie constitue un handicap invisible ayant des conséquences sociales, économiques et professionnelles pour les femmes qui en sont atteintes. Les arrêts maladie peuvent en effet être fréquents et affectent leur scolarité et leur carrière.
La reconnaissance de l’endométriose comme « affection longue durée » est une victoire pour les millions de femmes atteintes de cette maladie.
Elle ouvre la voie à une prise en charge financière, au remboursement des soins, à des congés maladie, à des aménagements du temps de travail, à l’investissement dans la recherche publique mais aussi à une considération institutionnelle d’une maladie longtemps restée taboue.
Le ministre Olivier Véran a expliqué à la tribune qu’il n’y était personnellement pas favorable. Le gouvernement doit entendre cette unanimité de l’Assemblée nationale et s’engager dans la voie de la reconnaissance institutionnelle de l’endométriose. Le combat continue.
Le texte de la résolution : https://www.assemblee-nationale.fr/…/l15b4766…
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