Le 7 octobre dernier, la commission des Affaires Culturelles de l’Assemblée nationale auditionnait le directeur général de l’association “Ambition olympique et paralympique Paris 2024”.
A cette occasion, j’ai pu défendre très directement dans mon intervention la candidature du stade Geoffroy Guichard, récemment inauguré en présence de Ségolène Royal, qui en a souligné les qualités en termes de développement durable, un des critères déterminant dans le cahier des charges du CIO.
[dailymotion x38z4th]Voir à 1’50” : « Il faut que la candidature soit perçue au-delà de la candidature parisienne ou de l’Île-de-France, par tous les territoires. Il y a déjà Marseille qui a été retenu comme site olympique. Il y aura aussi 4 stades de foot à choisir dans les prochains mois. Je n’ai aucune préférence, même si je connais des stades dont l’éclairage fonctionne avec de l’huile de friture dans certaines villes, donc je ne donne pas ma préférence. Mais il y a la nécessité d’irriguer tous les territoires avant l’événement sportif. Il faut savoir qu’à Londres en 2007 et 2012, il y a eu 120 événements sportifs dans 41 disciplines qui ont été organisés sur l’ensemble du territoire britannique avec une participation populaire très importante. »
En effet, dans le cadre de la candidature de Paris 2024, quatre stades pour l’accueil des matchs de football doivent être choisis en plus du Parc des Princes et du Stade de France. C’est une excellente occasion de faire vivre une candidature olympique, pour laquelle l’essentiel des épreuves se dérouleront en Ile-de-France, sur l’ensemble du territoire français.
Le choix définitif de ces sites – Saint-Etienne Métropole ayant déposé sa candidature début octobre – aura lieu le 13 septembre 2017, après le choix du CIO de la ville candidate, sur la base d’une liste élargie de 9 stades qui figureront dans le dossier technique en février 2016.
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