À l’occasion d’une journée nationale de mobilisation des salariés d’ENGIE, Régis JUANICO, Député de la Loire, et Marc CHAVANNE, Maire de Saint-Jean-Bonnefonds, ont interpellé la Direction d’ENGIE et l’Etat actionnaire, afin de relayer les craintes et soutenir les revendications des salariés du groupe.
En effet, la direction d’ENGIE a récemment décidé de délocaliser à l’étranger une partie croissante de l’activité de relation clientèle (Service Clients) : au Maroc, au Portugal, à l’île Maurice et prochainement au Sénégal et en Côte d’ivoire.
Ce sont plus de 600 ETP qui seront opérationnels à l’étranger d’ici la fin de l’année, mouvement qui serait appelé à croitre encore dans les années à venir. Fin 2017, 30 % de l’activité de relation clientèle d’ENGIE sera réalisée depuis l’étranger.
La création de ces emplois « off-shore » va se faire au détriment des emplois existants en France, que ce soit à l’interne du groupe ENGIE ou parmi ses sous-traitants.
Parce que nous défendons les emplois en France, et plus particulièrement encore les salariés travaillant pour ENGIE depuis le site Acticall de Metrotech à Saint-Jean-Bonnefonds, nous appelons solennellement la Direction du groupe ENGIE et l’Etat actionnaire à stopper sans délai le dumping social engendré par cette démarche d’externalisation à l’étranger de l’activité.
Régis JUANICO, Député de la Loire
Marc CHAVANNE, Maire de Saint Jean Bonnefonds
Courrier Engie by Régis Juanico on Scribd
Courrier b Le Maire by Régis Juanico on Scribd
Ce mardi, les salariés d’Engie, par l’intermédiaire de ses représentants mettent Isabelle Kocher face à ses propres engagements et dénoncent le non-respect de l’accord social européen signé à l’unanimité et déplorent le dumping social. Ils manifestent comme partout sur le territoire. Lire la suite…
Les salariés des services client d’Engie sont appelés à la grève mardi 26 septembre pour protester contre la délocalisation des activités clientèle et “défendre l’emploi en France”. Dans un communiqué publié au début du mois, l’intersyndicale CFDT, CFTC, CGT, CFE-CGC et EeFO dénonçait “l’offshorisation des emplois” et accusait l’État, actionnaire de référence du groupe énergétique, de “cautionner” les choses “par son inaction”. Lire la suite …
Un préavis de grève a été déposé chez Engie pour ce 26 septembre. Les organisations FO, CGT, CFDT, CFTC et CFE-CGC appellent les salariés chargés des particuliers et de la clientèle professionnelle à un arrêt de travail. Lire la suite…
Les salariés du service clients d’Engie sont en grève ce mardi 26 septembre. Ils protestent contre la décision de la direction de délocaliser les centres d’appels à l’étranger, au Maroc, au Sénégal et à l’île Maurice notamment. Environ 550 emplois sont menacés. L’État, actionnaire majoritaire du groupe, est accusé de favoriser ce “dumping social”. “Comment peut-on accepter que le Premier ministre se batte pour sauver STX, et là il accepte le dumping social ?”, interroge l’intersyndicale, très remontée. Lire la suite…
Ils protestent tant qu’il en est encore temps. Les salariés du service clients d’Engie sont en grève ce mardi pour dénoncer la décision de la direction de délocaliser les centres d’appels à l’étranger, au Maroc, au Sénégal, au Portugal, au Cameroun et à l’île Maurice.
Une centaine de salariés d’Engie, à Quimper (Finistère) ont débrayé ce mardi matin 26 septembre pour protester contre la délocalisation des activités clientèles et défendre l’emploi en France. “On proteste contre la délocalisation du traitement des appels à l’étranger, explique Ophélie Pavée, déléguée Force ouvrière. 80 % des appels aujourd’hui sont traités par des centres d’appels externes. Engie et ces centres délocalisent au Maroc, à l’île Maurice, au Cameroun, au Sénégal. Concrètement, il y aura moins d’emploi en France.”
Le mouvement de grève dans les services clients d’Engie, lancé à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CFTC, CGT, CFE-CGC et EeFO pour protester contre la délocalisation des activités clientèle et “défendre l’emploi en France”, semblait bien suivi mardi, selon de premières remontées syndicales. “Il y a une forte participation, avec un taux de grévistes de 90%” sur le site de Toulouse et de “100% à Orléans”, a dit à l’AFP Patricia Chastan (CFE-CGC). Lire la suite…
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